« ChatGPT est conscient. » « ChatGPT répète des âneries. »
Ces phrases reviennent sans cesse. Pourtant, la réalité est bien plus nuancée. Avant de juger, explorons en profondeur les coulisses de cette intelligence artificielle qui fascine autant qu’elle intrigue, entre fantasmes technologiques et vérités concrètes.
Le monde change. Et si vous êtes parent, chercheur, marketeur ou simplement curieux, vous devriez probablement prêter une oreille attentive à ce que Sam Altman, PDG d’OpenAI, a partagé dans le tout premier épisode du podcast officiel de la société.
Depuis deux ou trois ans, on la voit partout. Elle rédige, elle dessine, elle parle, elle code, elle soigne même. L’intelligence artificielle a débarqué dans nos vies en suivant le modèle RDE : Ridicule, Dangereux, Évident. Et aujourd’hui, elle est là, bien installée et partie pour durer. Elle ne se contente plus de générer des images de chat ou de résumer des articles scientifiques. Elle transforme déjà notre manière de travailler.
Vous avez probablement vu passer cette information : Google propose son certificat « Prompting Essentials », un parcours de 10 heures qui promet de faire de vous un spécialiste du prompt engineering. Si, comme beaucoup, vous manquez de temps pour visionner l’intégralité des vidéos, vous êtes au bon endroit : cet article rassemble, en un peu plus de trois mille mots, l’essentiel des méthodes, astuces et bonnes pratiques enseignées par les ingénieurs IA de Mountain View.
Chaque interaction avec ChatGPT ou tout autre assistant conversationnel moderne cache en réalité un travail titanesque en coulisses. Derrière chacune de vos requêtes et chaque phrase générée, se trouve un Large Language Model (LLM) entraîné selon plusieurs étapes complémentaires, pensé pour maîtriser la langue, se comporter comme un assistant, rester éthique et développer un véritable raisonnement interne. Prêt à plonger plus en profondeur dans les rouages fascinants des LLM ? Allons-y.
Vous avez envie de vous lancer dans l’intelligence artificielle mais vous avez l’impression qu’il faut être ingénieur pour comprendre le truc ? Bonne nouvelle : c’est faux.